En ouverture de ce numéro, l’installation vidéo d’Alexandre Nikolaev intitulée Poissons, réduit et architecture l’espace entre des univers qu’il emboîte l’un dans l’autre. Il en va de même avec les réflexions de Stefania Caliandro, Boris Chukhovich et Jean-Philippe Gagnon où, entre rendering, captations morphologiques d’objets, surimpressions et juxtapositions photographiques, se dessine une architecture du virtuel par laquelle des images apparaissent dans la distance et dans le temps de leur éphémérité. Par ailleurs Fabienne Claire Caland et Bertrand Rouby révèlent comment une production actuelle revisite des contes et des mythes du passé pour interroger le futur.