{"id":2928,"date":"2010-02-01T18:36:19","date_gmt":"2010-02-01T18:36:19","guid":{"rendered":"https:\/\/archee.uqam.ca\/?p=2928"},"modified":"2023-01-24T18:36:33","modified_gmt":"2023-01-24T18:36:33","slug":"fevrier-2010-vers-une-techno-esthetique","status":"publish","type":"post","link":"https:\/\/archee.uqam.ca\/fevrier-2010-vers-une-techno-esthetique\/","title":{"rendered":"F\u00e9vrier 2010 – Vers une techno-esth\u00e9tique"},"content":{"rendered":"\n

Trouver la bonne distance. Ni trop loin, ni trop pr\u00eat. Se placer \u00e0 m\u00eame le lieu o\u00f9 l’art se tient, ni totalement \u00e0 la mesure de l’objet ni totalement \u00e0 la mesure du sujet. Ce lieu m\u00e9dian<\/em>, situ\u00e9 entre le sujet et l\u2019objet, avant m\u00eame toute constitution d\u2019un sujet et d\u2019un objet, c\u2019est celui de la gen\u00e8se techno-esth\u00e9tique<\/em>.<\/p>\n\n\n\n

La question de la technique dans le discours esth\u00e9tique de Kant, Hegel et Heidegger, et dans la recherche de l’essence de l’art est un probl\u00e8me consid\u00e9rable et qui ne fait que se diff\u00e9rer<\/em> comme probl\u00e8me. Si Kant, Hegel et Heidegger ont en effet chacun \u00e0 leur mani\u00e8re op\u00e9r\u00e9 un d\u00e9ni de la technique<\/em>, ils l\u2019ont fait \u00e0 chaque fois au nom du propre<\/em> de l\u2019art, c\u2019est-\u00e0-dire de l\u2019art compris en son essence<\/em>.<\/p>\n\n\n\n

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