{"id":4091,"date":"2000-06-01T16:34:41","date_gmt":"2000-06-01T16:34:41","guid":{"rendered":"https:\/\/archee.uqam.ca\/?p=4091"},"modified":"2023-03-03T16:34:52","modified_gmt":"2023-03-03T16:34:52","slug":"juin-2000-larchetype-du-gribouillis-dans-le-cyberart","status":"publish","type":"post","link":"https:\/\/archee.uqam.ca\/juin-2000-larchetype-du-gribouillis-dans-le-cyberart\/","title":{"rendered":"Juin 2000 – L’arch\u00e9type du gribouillis dans le cyberart"},"content":{"rendered":"\n
Ce texte a fait l’objet d’une communication lors du colloque \u00ab\u00a0Rh\u00e9torique des nouvelles \u00e9critures\u00a0\u00bb, 13 et 14 avril 2000, Centre Pierre-P\u00e9ladeau, Montr\u00e9al.<\/p>\n\n\n\n
Ce qui motive une telle convergence entre le gribouillis, le cyberart et l’arch\u00e9type, rel\u00e8ve du caract\u00e8re organique de l’univers m\u00e9diatique contemporain. Par ailleurs, cette convergence met en branle une pens\u00e9e esth\u00e9tique qui se d\u00e9marque des habitudes intellectuelles \u00e9labor\u00e9es depuis le modernisme. Un modernisme est\u00e9thique comportant parfois des contradictions insoutenables. Par exemple, les aspects subconscients de l’expressionnisme abstrait conjugu\u00e9s \u00e0 une th\u00e9orisation formaliste plut\u00f4t stricte apparaissent totalement contradictoires. Ce qu’il y a de formel dans les effluves de l’inconscient ne rencontre pas des notions de forme, mais repose plut\u00f4t sur des constructions arch\u00e9typales.<\/p>\n\n\n\n