{"id":4531,"date":"1998-06-01T23:48:19","date_gmt":"1998-06-01T23:48:19","guid":{"rendered":"https:\/\/archee.uqam.ca\/?p=4531"},"modified":"2023-03-13T23:48:30","modified_gmt":"2023-03-13T23:48:30","slug":"juin-1998-chinese-type-contemporary-art-magazine","status":"publish","type":"post","link":"https:\/\/archee.uqam.ca\/juin-1998-chinese-type-contemporary-art-magazine\/","title":{"rendered":"Juin 1998 – Chinese Type Contemporary Art Magazine"},"content":{"rendered":"\n
Chinese Type Contemporary Art Online Magazine\u00a0est un organisme sans but lucratif. Publi\u00e9 sur une base bimensuelle, le magazine s’emploie \u00e0 faire conna\u00eetre l’art de la Chine moderne aux yeux de toutes personnes int\u00e9ress\u00e9es qu’elle soit collectionneur, commissaire, marchand, critique, etc.<\/p>\n\n\n\n
Le mot moderne n’est pas d\u00e9nu\u00e9 de sens puisqu’il semble que la Chine ait acc\u00e9d\u00e9 \u00e0 la peinture moderne sous l’influence d’un modernisme am\u00e9ricain du type greenbergien. Deux exergues aux pages principales puisent d’ailleurs aux propos et d\u00e9finitions de Clement Greenberg. Ce qui d\u00e9montre, d’autre part, que le c\u00e9l\u00e8bre critique et th\u00e9oricien des expressionnistes abstraits am\u00e9ricains n’est pas, dans la perspective chinoise, refoul\u00e9 du revers de la main dans un clivage entre le postmodernisme et le modernisme, du moins tel que le monde occidental le con\u00e7oit actuellement. Mais rien n’est plus parlant que les oeuvres elles-m\u00eames et, de ce point de vue, elles occupent des espaces imaginaires bien distincts malgr\u00e9 des ressemblances techniques.<\/p>\n\n\n\n