{"id":4592,"date":"1997-12-01T18:01:08","date_gmt":"1997-12-01T18:01:08","guid":{"rendered":"https:\/\/archee.uqam.ca\/?p=4592"},"modified":"2023-03-14T18:01:20","modified_gmt":"2023-03-14T18:01:20","slug":"decembre-1997-lart-le-temps-et-les-technologies","status":"publish","type":"post","link":"https:\/\/archee.uqam.ca\/decembre-1997-lart-le-temps-et-les-technologies\/","title":{"rendered":"D\u00e9cembre 1997 – L’Art, le Temps et les Technologies"},"content":{"rendered":"\n
La culture fran\u00e7aise a un penchant naturel pour la langue et le temps. La relation entre les deux ne fait pas myst\u00e8re puisque la narration verbale s’organise sur le fil du temps. Il n’est donc pas surprenant qu’une \u00e9tude soit en marche sous le titre\u00a0L’Art, le Temps et les Technologies. Il s’agit d’un projet de recherche du Centre International de Cr\u00e9ation Vid\u00e9o (CICV) pour la D\u00e9l\u00e9gation des Arts Plastiques (Minist\u00e8re de la Culture, France) et mis en oeuvre par Norbert Hillaire.\u00a0<\/p>\n\n\n\n
On y interroge, entre autres, les ruptures ou les continuit\u00e9s possibles entre la modernit\u00e9 et la postmodernit\u00e9 dans la perspective de ce phylum th\u00e9matique de l’art, du temps et des technologies. Parall\u00e8lement \u00e0 cette r\u00e9flexion, des oeuvres ont \u00e9t\u00e9 choisies selon leur pertinence.<\/p>\n\n\n\n
Ce qui se d\u00e9gage des textes propos\u00e9s conduit \u00e0 penser que l’effondrement de la pens\u00e9e classificatrice, celle qui oppose par diff\u00e9renciation, ouvre sur de nouvelles interrogations quant \u00e0 l’id\u00e9e du r\u00e9el. Fait int\u00e9ressant, la prise en compte de la spatialit\u00e9 dans l’organisation du vivant et de ses modes de communication. Nous vivons dans un monde de lieux et de non-lieux.<\/p>\n\n\n\n